« Peindre est une des meilleures choses qu’il me soit arrivé. C’est une introspection indispensable pour me comprendre et exprimer mes émotions ».

Nitram

Nitram de son vrai nom Martin Matrat est né en 1986. Il vit et travaille en Alsace sur les hauteurs d’Obernai.

En parallèle, il a grandi dans un univers artistique et littéraire. Après ses études, il créé et dirige une librairie spécialisée dans les livres anciens au cœur du centre historique de Strasbourg.

Il se passionne pour les arts graphiques et l’imagerie ancienne. De la gravure sur bois au techniques modernes d’impression.

A deux pas de sa librairie, il ouvre sa propre galerie (Retro.Futur galerie au 30 rue des juifs) pour y présenter ses œuvres. Il participe à de nombreuses foires d’art contemporain et travaille avec différentes galeries en France.

Il s’entoure d’un collectif d’artistes strasbourgeois.

 
"Vives, violentes parfois, vibrantes toujours " "Ca claque, ça pulse, ça déménage !"
Hervé Lévy
(rédacteur en chef Poly magazine, Strasbourg)

« Si on devait qualifier son style, on le classerait probablement dans les mouvements street art, de figuration libre ou street art brut. Il mêle les couleurs chaudes et froides sur des grands formats. Ses tableaux prennent des teintes africaines et/ou sud- américaines.

Ses sujets sont des bestiaires, des scènes historiques ou mythologiques, des théories ou encore des grandes fantaisies. Le mystique, le rêve, la vie, la mort et l’humour se mélangent à travers des formes géométriques. Ses motifs cernés de noir et de blancs, rappellent certains artistes des années 1980/90.

L’ensemble crée des scènes pop, exubérantes et psychédéliques, parfois dérangeantes. Certains tableaux forts et violents peuvent être simultanément d’une grande douceur.

« Laissant derriére lui les rivages un peu trop balisés d'une peinture post-Combas, son pinceau se fait plus fluide. Les couleurs claquent toujours, tout comme les références littéraro-mythologiques, mais ses compositions sont plus déliées. Comme s'il s'était libéré. En témoigne le récent Arbor, hydre végétale aux têtes menaçantes, ou une Danse boréale dont la sauvagerie revendiquée se double d'une aspiration métaphysique ».
Hervé Lévy
(rédacteur en chef Poly magazine, Strasbourg)

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